Catégorie : Actualités

Les habitants des Babungwe Nord,en secteur de Tanganyika dans le territoire de Fizi poursuivent les actions citoyennes pour exiger la réhabilitation de leur chef coutumier. Ce jeudi 17 novembre au bureau du groupement à Mboko,les jeunes en colère disent que , la décision du ministre, c’est un autre nouveau élément de l’insécurité sur cet axe. Ils indiquent que des réactions farouches seront prises si, une fois l’autorité coutumière ne pas réhabilitée. Sous la pluie qui s’est abattues dans cette entité la matinée du 15 Novembre 2022, certains habitants de Mboko et ses alentours de sont réunis pour accompagner la famille Simbi dans une marche pacifique. Cette marche avec les mêmes objectifs exigeant la réhabilitation de leur Mwami, porté aussi des banderoles où l’on pouvait lire que:   <<nous  refusons la lettre du ministre provincial de l’intérieur qui déchoit  sa majesté Mwami Simbi3 à la tête du groupement des Babungwe nord. La manifestation qui a débutée  au village royal des basisimbi« ASELE«  jusqu’au Bureau administratif du secteur de Tanganyika.Devant l’autorité  administrative, les Basisimbi lisent leur mémo adressé au chef de l’état. Patrick Mtupeke Mkeyo le secrétaire administratif des babungwe nord ,dans une interview accordée à ONGEA-YAGA regrette que, les autorités provinciales amplifient les conflits coutumiers dans le territoire de Fizi. Selon lui, le ministre ne devait pas s’appuyer aux enquêtes anciennes menées par l’ancien gouverneur Ndala kashala. Le ministre pourrait faire des descentes,  a-t-il  dit. En date du 10 novembre, 2022, le ministère de l’intérieur, sécurité décentralisation et affaires coutumières, a écrit la lettre Numéro ref: CAB/MIN/DAC/SK/1185/KMT/2022 la  quelle réhabilite Monsieur Maneno  Nundu comme chef de groupement des Babungwe nord. La lettre pousse trois arguments archivistiques confirmant l’authenticité de ce pouvoir coutumier à la famille BASHINÙNDÙ. La famille Nundu été au pouvoir plus de 30ans passées. A Nundu la nouvelle famille régnante, fête du jour au nuit. NUNDU WATAKA KASSAIN MOISE J.K appel tous les Babungwe de cohabiter ensemble, car selon lui le déchu est Mubungwe et le réhabilité est aussi Mubungwe.

THOMSON UNDJI et HASSAN SHABANI

Une clinique mobile des soins médicaux gratuits disponibilisé pour aider la population d’uvira et Fizi. La Fédération des femmes pour la paix et le développement<<FEPADE>> Asbl alerte le gouvernement congolais que 70% de la population des territoires de Fizi et d’uvira souffre de la malnutrition. Celles si suites aux guerres et affrontements entre les groupes armés à l’est de ce grand pays au cœur de l’Afrique. Ajoute notre source . Les investigations menées par la FEPADE pendant un trimestre révèlent que les femmes enceintes sont plus vulnérables de cette situation. Jeannine Mukoko coordinatrice de la FEMADE l’a fait savoir ce Mercredi 09 novembre lors d’un entretien avec notre reporter. Une autre catégorie la plus touchée est celle des enfants de 0 âge à 5 ans. Elle ajoute qu’elles ont découvert des femmes pesant moins de quarante kilo de poids. Asanda MWENEBATU JOSEPH Président du conseil d’administration de l’FEPADE Asbl,   indique que son organisation planifie depuis le mois de mai dernier, la disponibilisation d’une clinique mobile pour soigner les familles les plus vulnérables dans le territoire de Fizi et d’Uvira. Six mille cinq cent quatre vingt six personnes ont bénéficié des soins médicaux gratuits sont 1,098enfants du sexe féminin,1,717 garçons, et pour les adultes 1,705 hommes et 2,066 femmes. La diagnostic des patients prélève que 1183 enfants ont été soigné le paludisme,407 fièvre typhoïde,190 malnutrition,579 gastro entérite aiguë,78 cas d’anémie et deepanocyte,116 infections,5 chirurgies,64 infections pulmonaire basse,2 traumatisme génital,59 infections respiratoires ORL et 101 autres cas.
Les adultes diagnostiqués sont là 737 cas de paludisme,575 ulcère gastro duodénal et gastrite,114 cas de diabète,89 hypertension artérielle,690 infections uro+génital,106 cas de la rhumatisme articulaire,461 cas de fièvre typhoïde,49 cas de chirurgies,16 cardiopathies,180 polyarthrite,64 pathologies gynécologiques,149 menaces d’avortement et accouchement,165 gastro entérite aiguë,9 infections respiratoires et 118 autres cas. La coordination de la FEPADE estime que la prise en charge alimentaires dans cette partie serait une solution à la problématique de la malnutrition.

THOMSON  UNDJI BATANGALWA  William

Les sociétés civile force vive noyau de kamanyola dénoncent le problème des déchets ménagers qui devient de plus en plus préoccupant en raison du caractère polluant, voire toxique, dans certains cas. Bien plus, certains d’entre eux sont difficilement dégradables et sont ainsi rémanents.
Par ailleurs, le débordement des eaux usés dû pour la plupart de l’obstruction des caniveaux suite au stockage des déchets dans des canalisations, ruisseaux sur la voie publique est à la base des dommages matériels et humains très importants.
Dans certains quartiers du groupement de kamanyola, les poubelles sont à ciel ouvert à côté des maisons.
Ces différents déchets constituant des réservoirs d’insectes nuisibles et des microbes responsables de plusieurs maladies mortelles, ce qui constituent de véritables problèmes de santé publique.

L’expert en Environnement MWENE WIRHU STYVE, souligne la contribution des décharges sauvages dans la pollution atmosphérique ou par dispersion des polluants en surface ou encore par percolation d’eaux contaminées. Les agents sanitaires Interview dans les quartiers donnent, différentes modalités suivantes faites des contaminants chimiques ou microbiologiques ayant pour origine les déchets bruts ou les résidus encore actifs stockés dans des conditions de confinement incapables peuvent se répandre dans le milieu. Au sein du groupement de kamanyola, les déchets sont éparpillés dans la nature sans respect des règles d’hygiène et de la matière en matière de gestion des déchets. Ainsi, ces déchets peuvent se répandre dans le milieu par la percolation des lixiviats, le ruissellement d’eaux de lessivage vers des cours d’eaux, ou encore par dégazage des composés volatils piégés dans la matrice des déchets qui s’échappent dans l ‘air extérieur ou par envol des débris et poussières. Cette étude analyse la problématique de la gestion des déchets ménagers et de leur impact potentiel sur l’environnement et la santé de la population du groupement de kamanyola. L’étude montre combien les déchets ménagers peuvent être associés à des maladies couramment rencontrées dans les différents centres de santé de kamanyola-zone de santé de NYANGEZI (Sud-Kivu, République Démocratique du Congo). Les parasites incriminés dans ces maladies sont ceux qu’on retrouve dans les analyses biologiques des déchets. Il s’agit de Balantidium coli , Shigella flexneri , Ascaris lombricoïdes et Escherichia coli . Toute stratégie de lutte contre les maladies induites par la présence des déchets doit passer par la maîtrise de la gestion adéquate des déchets ménagers. Pour éviter une expansion rapide de ces maladies, il importe de mieux maîtriser les habitudes et pratiques des communautés ainsi que les modes de transfert de ces polluants dans l’environnement et surtout le mode de transfert vers les organismes vivants, notamment les plantes et l’ homme. Une sensibilisation de la population en matière d’hygiène, de collecte et de traitement des déchets ménagers est indispensable en vue de réduire les risques de transmission de maladies par les pathogènes et autres polluants éventuellement présents dans les déchets. Aussi, la protection des eaux doit également être adaptée afin de limiter toute contamination.

REDACTION ONGEA YAGA

Près de 5000 élèves refugiés burundais n’ont pas encore retourné aux études
Depuis le 05 septembre 2022 journée officielle de la rentrée scolaire en république démocratique du congo, les élèves réfugiés burundais du camp de lusenda et du site de Mulongwe situé en territoire de fizi n’ont pas d’espoir d’étudier.Selon la Commission Nationale pour les refugiés « CNR » le HCR a lancé depuis une année un signal de désengagement de la prise en charge scolaire des refugiés.Didier Numbi Wa Numbi l’administrateur du camp de Lusenda et agent à la CNR Baraka fait savoir que le haut commissariat des nations unies pour les refugiés n’a pas des financement dans le secteur éducationnel suite à plusieurs contraintes,notament les conflits ucraniens-russe,et des manifestations des populations congolaises contre la Monusco.
Il indique que la résponsabilité de prise en charge des refugiés reviens en premier lieu au pays d’accueil puis aux agences des nations unies.
De son coté Eric Mwacha le chef de la sous division educationnelle Fizi 3 basé à Mboko, ils sont dans des pourparler avec le HCR. Selon lui, le HCR devrait chercher d’autres partenaires pour sauver l’année scolaire de ces eleves refugiés burundais dont leur nombre est plus grand à Lusenda que ce lui des autochtones. Environs cinq milles élèves réfugiés burundais qui étudient dans différentes écoles secondaires en territoire de fizi. Selon monsieur AMISI MAYUTO Mikila président de la société civile de Lusenda, c’est inconcevable d’organiser une année blanche aux refugiés. Il appel le HCR de trouver la solution dès que possible. Contacté à ce sujet Mwimi’wa Mlondani John, chef de secteur de Tanganyika, les écoles secondaires des autochtones sont disponible et il n’ y a pas de discrimination. Cette autorité administratif du secteur de Tanganyika demande aux refugiés d’apaiser les émotions et d’intégré d’autres écoles.
Jimy Bishimeye le représentant des refufigiés burundais de Lusenda dit reconnaitre avoir participé dans une réunion avec le HCR une année passé, la réunion dans la quelle ils ont été annoncé la non prise en charge scolaire de leurs enfants. Celui-ci parle que malgré cela la prise en charge des élèves réfugiés est encore nécessaires.
Certains parents d’élèves que nous avons contacté lance un cri d’alarme pour leurs venir en rescousse scolaire.