Bulletin d’informations Makala ONGEA-YAGA du 12 juin 2024 N° 47/ Projet : Promotion des DH, de la paix, la gouvernance locale, la protection de l’environnement et la lutte contre les VSBG au Sud Kivu sous financement de Suède via Internews en RDC-3R

Sommaire :

–    Lusenda : 5063 filles et femmes âgées de 13 à 39 ans assistées en kit de dignité humaine. Les bénéficiaires sont des réfugiées burundaises du camp de Lusenda en RDC. Le kit donné est composé de trois sous-vêtements, d’un cotex, d’un rasoir, d’une Colgate et deux savons. Les bénéficiaires saluent l’assistance reçue.

–    Uvira : Lancement officiel ce lundi 03 juin de la campagne de vaccination contre la poliomyélite dans la ville d’Uvira. Cadre de l’événement, quartier Rombe I, au bureau Orange sur l’avenue Faco. Cette campagne de trois jours allant du 13 au 15 juin 2024 consiste à la distribution de la dose de vitamine A et le de parasitage aux enfants de 0 à 5 ans dans 25 provinces du pays. Les relais communautaires passerons porte à porte pour faire vacciner les enfants contre la poliomyélite et donner de la vitamine A pour renforcer leur immunité.

–    Sange :La zone de santé de ruzizi connaît ce dernier temps une forte augmentation des cas de la malnutrition pour cette année 2024 . Déclaration faite ce matin par le nutritionniste superviseur de la zone de santé de ruzizi lors d’une interview avec une journaliste rapporter de makala ongeya. Selon MBILIZI DEOGRATIAS, La malnutrition demeure un problème de santé dans la province du Sud Kivu en général et dans la zone de santé de ruzizi en particulier. cette augmentation s’observe par rapport au chiffre des cas enregistrer pour chaque année. Selon lui, pour le quatre moi seulement de l’année 2024 , 7253 cas des enfants malnutris sont déjà enregistré, dont 2116 en insuffisance pondérale. Il demande au  parents de s’approprier les activités de NAC car le taux de fréquentation à la consultation Près scolaire CPS est réduite et c’est ce qui fait problème.

Magazine hebdomadaire HABARI KWA WOTE sous réalisation de l’organisation de presse ONGEA N°01/Projet : Promotion des DH, de la paix, la gouvernance locale, la protection de l’environnement et la lutte contre les VSBG au Sud Kivu sous financement d’Internews en RDC

Dans ce magazine, la crise environnementale, dans le contexte des inondations au Sud Kivu, aux territoires de Fizi et Uvira ainsi que, le manque de financement de l’enseignement secondaire en faveur des élèves réfugiés burundais au Sud Kivu sont longuement parlés.

Contributeurs : Géraldine INGABIRE du site de Mulongwe,/Fizi

Cléophas BUMBA d’Uvira & Thomson UNDJI de Mboko/Fizi

Diffusion sur www.onge.info et sur 10 radios partenaires des territoires de Fizi, Uvira, Fizi Walungu et ville de Bukavu et Goma.

 

 

Bulletin d’informations Makala ONGEA-YAGA du 08 mai 2024 N° 6/ Projet : Promotion des DH, de la paix, la gouvernance locale, la protection de l’environnement et la lutte contre les VSBG au Sud Kivu sous financement d’Internews en RDC

Sommaire :

Uvira : Montée continuelle des eaux lac lac Tanganyika et du marais Nyangara en mairie et territoire d’Uvira au Sud Kivu, l’observatoire de Droit, Justice et Gouvernance Participative pour la Cohésion Sociale en RDC interpelle les gouvernants. Maître Ghislain BARAHIGA, directeur de cette organisation plaide pour une implication urgente du gouvernement congolais afin qu’il ait un lotissement en faveur des sinistrés et personnes à risque pour prévenir le pire./ SIFA Angèle

Malicha/Fizi : Plus de 3 hectares de champs déjà envahis par les hippopotames à Malicha, groupement de Balala Sud dans le secteur de Mutambala en territoire de Fizi, depuis fin avril dernier. Cette situation provoque la disette et le chômage dans ce village. La société civile locale demande aux services habiletés de renvoyer ces animaux aquatiques pour sauver les restes des plantations./ MIHALI Cordontch

Uvira : En fin, un accord pour la construction de la route nationale numéro trouvé entre la population et les autorités. Les deux parties se sont entendues sur les exigences de la démolition des maisons proches de la route si et seulement si les travaux débutent. C’est ce qui ressort du conseil de sécurité élargi, tenu lundi 06 mai à Uvira, lors d’une séance de sensibilisation sur la construction de la RN5, dans lequel des représentants des différentes couches sociales ont pris part./ Cléophas BUMBA.

 

 

 

 

 

Bulletin Hebdomadaire Ongea Yaga, semaine du 15 au 21 Janvier 2024 N° 02.

Sommaire :

  •  Baraka : Une femme quadragénaire tuée pendant la nuit du 17 au 18 janvier 2024 au quartier MOMA KASASWE  au centre ville de Baraka. La victime a été identifiée sous le nom de ZAWADI et est originaire du village AUNGU. Celle qui était en visite familiale à son neveu, laisse derrière elle 11 enfants et son mari. Les forces de sécurité de la ville ont ouvert des enquêtes pour connaître le mobil de cet acte inhumain et identifier les présumés auteurs du crime.
  •  Kamanyola : Paralysie des activités jeudi 18 janvier 2024 à Kamanyola, suite au barricade de la RN5 par des jeunes manifestants contre l’arrestation d’un d’eux. Ces jeunes présumés auteurs de la destruction méchante d’une maison au quartier RUGENGE, appartenant à une femme soupçonnée sorcière, exigeaient la libération sans condition du jeune arrêté par la police. Le trafic entre Bukavu-Uvira-Bujumbura était paralysé par le barricade de la RN5.
  • Sange : Poursuite des travaux de construction du pont reliant la commune de Buganda, côté Burundi et la cité de Sange, côté RDC sur la rivière Ruzizi. Le Chef de la cité de Sange rassure son implication pour le rétablissement de la sécurité des passagers. Une satisfaction des opérations économiques et des acteurs sociaux de Sange qui, espèrent au renforcement des échanges commerciaux entre les burundais et les  congolais. Cependant, le délabrement avancé de la route nationale numéro 5, tronçon Uvira-Bukavu, pourrait bloqué les efforts consentis pour la construction de pont.
  •  Lusenda : Elections générales des leaders des réfugiés burundais au camp de Lusenda. La cinquantaine, madame MWAVITA ASUMANI a remporté la présidence du comité directeur de ce camp à plus de 85 % des suffrages. Ainsi, MWAVITA ASUMANI devient la première femme élue à ce poste depuis l’ouverture de ce camp en juin 2015. Les femmes et filles réfugiées burundaises se réjouissent de cette victoire historique de la femme mais s’impatientent sur le retard des cérémonies d’investiture des élus.
  •   Kamanyola : Fermeture des frontières terrestres du Burundi avec le Rwanda par le gouvernement burundais. La population de la province du Sud Kivu en RDC, frontalière du Rwanda et du Burundi s’inquiète des impacts négatifs sur le trafic Bukavu-Bujumbura. Obligés d’utiliser désormais la RN5 en traversant la plaine de la Ruzizi via le poste frontalier de Kamanyola à l’entrée et, celui de Kavimvira à la sortie de la RDC pour Bujumbura, les passagers craignent le braquage, les enlèvements et autres traitements cruels et inhumains sur l’axe Kamanyola-Uvira et demandent la mobilisation et le déploiement des forces de sécurité sur le long de la route pour la sécurité des passagers.
  •   Mulongwe : Une péripétie dans le site des réfugiés burundais de Mulongwe se rapporte. Les réfugiés agriculteurs et pêcheurs sont imposés d’acheter des jetons pour vaquer de leurs activités en dehors du site. Ce jeton dont sa valeur, est dix mille francs congolais, est imposé par le chef du village Malinde, Kapita après son échec d’interdire toutes les activités économiques en dehors du site.
  •   Mboko : Le chef de secteur de Tanganyika, la fédération des entreprises du Congo, FEC et la société civile forces vives entament des discussions budgétaires pour définir le seuil des taxes et impôts nécessaires. Les discussions y relatives ont pris début la semaine dernière à Mboko, sous le plaidoyer de la société civile, dans l’objectif de promouvoir la culture de discussion budgétaire entre l’Etat et les opérateurs économiques. La société civile salut le bravoure et la sagesse du Chef de secteur.

Hassan Shabani

KAMANYOLA : Les femmes petites commerçantes Transfrontalières, s’engagent a mettre en pratique l’éducation financière afin d’améliorer la vie socio-économique de leurs familles.

Les  femmes petites commerçantes  Transfrontalières, s’engagent  à mettre en pratique l’éducation financière  afin d’améliorer   la vie socio-économique de leurs      familles. Ces engagements ont était  reformulés   ce Mardi 24/10/2023 a travers une Emission débat public TUKAE PAMOJA. Ces activités  s’inscrit  dans le cadre de la campagne Médiatique  du projet   TUINUE BIASHARA MUPAKA mis en œuvre par l’organisation   INITIATIVEPOUR LA PAIX  ET  LES DROITS HUMAIN S « ipeace » visant à accompagner  les femmes  exerçants les petits  les petits commerces  a fin d’améliorer la vie socio-économique et  l’intégration régionale dans la cohésion sociale.   Ce débat public  public   TUKAE PAMOJA organisé par  La benevolencija GRANDS LACS  s’est passé a l’hôtel Kamanyola   dans le groupement  de Kamanyola avait comme thème : « difficultés  de gestions des revenus et d’accès aux services  bancaires par les femmes petites commerçantes » « comment connecter  les femmes  avec les banques , alphabétisation ou éducation financière » animé par TOYI MIREFU Théodore , chargé de la campagne Médiatique chez la Benevolencija  Grands lacs.   Dans ces assises ayant pris part différentes autorités locales, tous    sont engagés         d’accompagner les femmes petites commerçantes à adhérer       à la pratique  de l’épargne.

HASSAN SHABANI

Vivre ensemble en paix, c’est accepter les différences, être à l’écoute, faire preuve d’estime, de respect et de reconnaissance envers autrui et vivre dans un esprit de paix et d’harmonie.

Ensemble, nous sommes forts
Unis dans nos différences
Nous avançons main dans la main
Vers un avenir radieux

La diversité est notre force
Elle nous enrichit et nous élève
Nous apprenons les uns des autres
Et grandissons ensemble

La cohésion sociale est notre but
Un monde où chacun a sa place
Où l’amour et la compassion règnent
Et où la paix est notre guide

Ensemble, nous pouvons tout accomplir
Construire un monde meilleur
Où chacun est respecté
Et où l’harmonie est notre credo

Vivre ensemble, c’est notre destinée
Unis dans nos différences
Nous avançons main dans la main
Vers un avenir radieux.

REDACTION ONGEA YAGA

Disons Non à la Haine, Disons Non aux discours de haine

 

Le discours de haine, un phénomène en augmentation partout dans le monde. Disons Non à la Haine, DNH. Depuis la résurgence des affrontements entre les forcées armées de la République Démocratique du Congo  (FARDC) et les rebelles du mouvement du 23 Mars  (M23) soutenus par Rwanda Défense Force (RDF) les répressions, la ségrégation, les discours haineux contre les personnes parlant le Kinyarwanda se multiplient à l’Est de la RDC. Ces paisibles citoyens sont perçus comme des rwandais et sont qualifiés par la suite d’être les rebelles du M23 ou leurs proches collaborateurs.

Certains de ces paisibles citoyens s’entassent dans des sites de déplacés de peur de violences  (cas de BIBOKOBOKO dans le territoire de Fizi).

Pour mettre l’eau sur le feu, le groupe de presse Makala ONGEA lance une émission magazine pour consolider la paix et la cohésion sociale entre les différentes communautés vivant à l’Est de la RDC, dans la partie sud de la province du Sud Kivu, dans le but de mettre barrières aux discours haineux qui ne cessent de déchirer nos différentes communautés. La susdite émission passera chaque semaine dans le bulletin d’information hebdomadaire Makala ONGEA YAGA, diffusé sur  le site internet www.ongea.info et sur les pages Facebook, Twitter SoundCloud et sur WhatsApp.

HASSAN SHABANI

PROJET: PROMOTION DES ELECTIONS INCLUSIVES POUR UNE MEILLEUREPRESENTATIVITE DES FEMMES ET DES JEUNES DANS LES INSTITUTIONS DEMOCRATIQUE A TOUS LES NIVEAUX. Atelier conjoint entre les femmes leaders, les jeunes leaders communautaires sur l’élaboration d’un cadre d’indicateurs genre électoraux.

Dans le cadre du projet, promotion des élections inclusives  pour une meilleure représentativité des femmes et des jeunes dans les institutions démocratiques  a tous les niveaux;

L’organisation Dynamique femme et enfant en collaboration avec la synergie de médias pour l’union des forces SYMUF,  ont organisés une séance des formations  ce samedi, 03 juin 2023, En faveur  des femmes leaders  et jeunes leaders communautaire de Kamanyola. L’objectif de cet atelier est d’amener  les partis politiques et d’autres  dynamiques communautaires à s’engager à prendre compte de la dimension genre a travers l’alignement  équitable des femmes comme candidates, témoins et observatrices. MATABISHI NKINGI chef de localité de BUSAMA, participant dans cet atelier s’est dit intéressé par les thèmes abordé. Celui-ci  a sensibilisé les femmes de combattre la peur des briguer les postes de responsabilités dans les partis politique, tout en rassurant son accompagnement aux femmes ambitieuses.  Dans ces activités plus de 30 personnes ont pris part.

Les participants s’engagés d’abord de s’approprier l’approche du Projet et de renforcer les sensibilisations, les connaissances et compétences des femmes et jeunes leaders. Ces derniers  s’engagent  de prendre en compte  de la  dimension genre a travers l’alignement équitable des femmes. Rappelons que cet atelier conjoint entre les jeunes leaders communautaire de Kamanyola, était organisé par L’organisation DFE en collaboration avec la SYMUF, sous  le financement de la DDC.

REDACTION ONGEA

KAMANYOLA: 16 jours d’activisme ;les autorités s’engagent a combattre les violences sexuelles faites aux femmes.

La campagne annuelle, 16 jours d’activisme contre la violence basée sur le genre a l’égard des femmes et des filles, démarrée depuis le 25 Novembre a pris fin ce 10 Décembre 2022, la date marquant la journée  internationale de droits humains. Cette campagne offre aux personnes et aux organisations du monde entier une stratégie démobilisation appelant a la prévention et a l’élimination de la violence a l’égard des femmes et des filles. A KAMANYOLA dans le territoire de WALUNGU, cette campagne a pris fin par  une table Ronde sur l’implication des autorités locales pour mettre fin aux différentes formes des violences faites aux femmes et filles et la promotion de la cohésion sociale entre le FPCTS de KAMANYOLA, d’où un mémorandum a été  lu par la plateforme de plaidoyer.  Les autorités ayant pris part ces assises s’engagent a lutter contre l’impunité des violences sexuelles faites a l’égard des femmes ; tout en rassurant leurs soutiens indéfectible et l’accompagnement. Quand a ce, l’officier de la police judiciaire commissariat de Kamanyola, appelle les femmes a dénoncer tout cas des violences dont elles sont victimes a fin qu’il puisse punir les auteurs. Pour le délégué du Chef de groupement empêché, Mr Bienfait KIZITO indique qu’ensemble avec les autorités, ils vont mener les sensibilisation au sein de la communauté a fin  de réduire les violences faites a l’égard des femmes. Notons que ses activités ce sont déroulées dans la salle de réunion de l’hôtel de la plaine sous la facilitation de Madame Joséphine MUGOTO Animatrice de L’asbl LAV. Une activité qui s’inscrit dans le  cadre du projet MUPAKA SHAMBA LETU financé par Alert International.

 

HASSAN SHABANI

KAMANYOLA : PROJET MEDIA POUR LE DIALOGUE : SEANCE DE REFLEXION SUR LA LUTTE CONTRE LES INFOX , RUMEURS DISCOURS DE HAINE EN FAVEUR DES JOURNALISTES ET BLOGEURS , LES AUTORITES ET LES SOCIETES CIVILE

Dans le cadre du projet MÉDIA POUR LE DIALOGUE « M4D2 » Un projet de la Benevolencya  qui touche les provinces du nord- Kivu, sud-kivu et  Ituri En RDC et certaines parties du Rwanda et du Burundi frontalières avec La RDC. Un projet avec comme objectif de contribuer  à l’amélioration de la stabilité et de la coopération  régionale afin de promouvoir la cohésion social, la création de relation de confiance et la cohabitation pacifique au sein des communautés transfrontalière.  Ainsi, la Benevolencya grands lacs a organisé ce Jeudi 17 novembre 2022 à Kamanyola au Sud- Kivu, un  atelier d’échange en faveur des journalistes et Blogueurs venant de BUKAVU,SANGE, LUBERIZI, KAMANYOLA et les jeunes entrepreneurs, les sociétés civiles et les déplacés. Ces derniers ont discuté sur sur comment peut-on faire pour stopper les infos et Rumeurs afin de préserver la cohésion sociale et la cohabitation pacifique. l’objectif de ses échanges était  de stimuler la vigilance des jeunes producteurs et consommateurs des informations particulièrement ceux des zones frontalières notamment la RDC et le Rwanda et Le Burundi pour détecter et dénoncer tout infox, fausse information et rumeurs afin de limiter leurs conséquences négatives sur la cohésion et la cohabitation pacifique. Les journalistes et d’autres participants ayant pris part ces assises se sont engagés de lutter contre les fausses informations, intox et rumeurs, propagées dans les réseaux sociaux et dans les médias traditionnels.

REDACTION MAKALA ONGEA