BARAKA: Dans le but d’assainir la ville de Baraka et ses environs, la coordination urbaine de l’environnement avise les gens de ne plus jeter pêle-mêle les bouteilles en plastique. Ces bouteilles causent de nombreux problèmes environnementaux. La police doit intervenir en cas de désobéissance.
BARAKA: La police chargée de la protection des enfants et des femmes interdit strictement aux enfants, notamment aux apprenants pendant les vacances bimensuelles, de travailler comme laveurs. La plupart des enfants deviennent responsables au sein de leurs ménages après la proclamation des résultats scolaires jusqu’au début de septembre. Tout enfant attrapé en train de travailler péniblement sera mis en geôle, selon Kihibilo, officier de la protection des enfants et des femmes dans la commune de Katanga.
UVIRA : Le lavage des mains doit être effectué régulièrement pour limiter la propagation de la maladie MPox, qui se transmet également d’une personne à une autre. C’est un appel de la direction provinciale de la santé du Sud-Kivu, relayé par son chef de bureau en charge de l’information sanitaire, Justin BENGEHYA.
Lusenda : Dans le cadre du projet EDUFAM, éducation des filles pour un avenir meilleur, les organisations COFAS, conseil des organisations féminines agissant en synergie et la Caritas Goma innovent une plateforme numérique de dénonciation des cas des viols et violences sexuelles dénommée Assistante MSAADA. Disponible dans play store, l’application MSAADA permet aux internautes de dénoncer les cas des VSBG en utilisant leurs androïd, smartphones, tablettes et Etc. L’application MSAADA présente plusieurs avantages notamment la rapidité de l’assistance en faveur des survivants, la confidentialité et d’autres. Dans ce magazine, les fonctionnalités de MSAADA ASSISTANCE sont débattues.
SANGYA : Dans le cadre du projet Stronger Women, Stronger nation sous financement de la Bloomberg foundation, l’organisation Women for Women International forme annuellement des femmes et filles en autonomisation sociale et économique pour promouvoir le développement et l’émancipation des femmes. Les lauréates reçoivent sont outillées en autonomisation sociale sur cinq modules notamment : la solidarité des femmes, la valeur du travail de la femme, la santé et le bien-être, les droits des femmes et le leadership au féminin et les femmes influenceuses du changement et économique en cinq filières incluant la boulangerie, la saponification, l’art culinaire, les soins de beauté et le petit commerce. Mercredi 19 juin 2024 au village de Sangya, groupement de bashimukuma nord au secteur de Tanganyika en territoire de Fizi au Sud Kivu, 565 femmes ont été graduées par Women for Women International après 12 mois de formation. Les lauréates sont appelées à capitaliser les connaissances reçues. Ce sujet est traité en magazine pour plus de précisions.
Lemera : Meurtre d’une femme âgée de plus de 45 ans par balles dans la nuit de ce vendredi 21 juin à Malunde dans le groupement de Lemera en territoire d’Uvira par des des hommes porteurs d’armes non identifiés. La victime connue sous le nom de Jeanne Mukulikire a été surprise par ses bourreaux en cours de chemin lorsqu’elle accompagnait une hôte qui était venue la rendre visite à son domicile. L’identité de ces hors la loi et les causes de cette tuerie ne sont pas encore connues.
Mulongwe : Flambée des cas de rougeole dans le site de réfugiés burundais de mulongwe depuis le début de l’année en cours. L’infirmier titulaire adjoint, au centre de santé d’Etat Muhungano de Katalukulu en zone de santé de Fizi, rapporte 19 cas confirmés de rougeole dont 17 réfugiés burundais parmi eux et 2 cas dans la communauté d’accueil. Les leaders des réfugiés demandent les humanitaires de leurs venir en aide non seulement pour apporter des médicaments efficaces contre cette épidémie, mais aussi pour apporter des vaccins contre la rougeole.
Uvira : Les enfants TAPORI de l’organisation ATD QUART MONDE Avec leurs encadreurs ont célébré ce vendredi 21 juin 2024 dans la salle de la 8e CEPAC Kasenga, la journée internationale de l’enfant africain. Sous le thème : l’éducation pour tous les enfants, l’heure est venue, cette activité à été une occasion pour ATD QUART MONDE d’interpeller les parents et les autorités de mettre toutes les batteries en marge pour améliorer l’environnement éducatif des enfants afin de les épargner contre les vagabondages et criminalités Urbaines dans la société. Les enfants victimes des inondations des eaux de la rivière Mulongwe et, autres enfants vulnérables ont pris part dans ces noces.
Mulongwe : Les autorités locales de groupement Bashimukuma Sud , secteur de MUTAMBALA en territoire de Fizi mettent fin au quiproquo observé pendant quelques jours entre certains jeunes de MALINDE, notamment les joueurs contre ASUREP Fizi (association des usagers d’eau potable potable de Fizi). Le problème était déplacement des tuyaux métalliques ( gaines) d’ASUREP pour les poteaux du football. Situation atténuée par le Chef du groupement de Bashimukuma Sud et son staff avec le greffier du chef de secteur à Malinde.
Lusenda : Le projet EDUFAM, éducation des filles pour un avenir meilleur vient de donner le go ce vendredi 21 juin 2024 à Lusenda à une campagne communautaire sur les mécanismes d’alerte et de fonctionnement de la plateforme numérique MSAADA et lancement officiel de la vulgarisation de la plateforme Assistance MSAADA, plateforme d’assistance aux survivantes de violences basées sur le genre. L’assistance MSAADA présente plusieurs avantages par rapport aux autres mécanismes de dénonciation notamment la rapidité du service et la confidentialité, les communautés de l’aire de santé de Lusenda et du Sud Kivu en général sont appelées à s’approprier l’assistance MSAADA.
Uvira : Lancement officiel ce vendredi 21 juin 2024 dans la ville d’Uvira, du projet PAMOJA mis en oeuvre par le consortium IRC, AVSI et COFAS avec la participation des autorités locales et des communautés hôtes ainsi que des réfugiés Burundais vivant hors camps des territoires d’Uvira et de Fizi. C’est un programme qui al’appui financier de l’Union Européenne. a hauteur de trois million cinq cent mille euros. D’apres Jessy Kapesa, Coordinateur de gouvernance et renforcement des systèmes au sein de l’organisation IRC, ce projet vise à renforcer l’intégration des réfugiés Burundais vivant hors camps au sein des communautés hôtes au Sud-Kivu, et compte atteindre 7000 personnes dont 3500 réfugiés burundais.
Uvira : La mesure prise par le service de migration de la RDC celle d’interdire, depuis mercredi 19 juin, aux véhicules pourtant l’immatriculation burundaise de traverser la frontière congolaise pour se ravitailler en carburant à la frontière de Kavimvira, à Uvira au Sud Kivu est une casse-tête aux petits commerçants transfrontaliers en particulier les vendeurs de carburant communément appelés les KADAFI. L’interdiction de ces véhicules est consécutive l’incendie d’un véhicule survenue à cette frontière dans la zone neutre entre le Burundi et la RDC où, des échauffourées avaient été éclatés, il y a à peu près deux semaines. Ces petits commerçants transfrontaliers appellent le gouvernement congolais à revenir sur cette décision pour l’intérêt supérieur de ces citoyens.
Mulongwe : Sous les thématiques : Pour un monde qui accueille les réfugiés et les réfugiés sont des personnes comme vous et moi qui ont été forcées de fuir leurs foyers, les réfugiés burundais du site de Mulongwe et du camp de Lusenda ont célébré ce mercredi 20 juin 2024, le 23ième anniversaire de la journée internationale du réfugié. Le 20 juin 2024 est célébré à Mulongwe au moment où la cohabitation entre les réfugiés burundais et les congolais de la communauté d’accueil de Mulongwe n’est pas bonne. Ntakirutima à Déo, président du comité des réfugiés burundais de ce site appelle à l’action des autorités congolaises et des organisations humanitaires pour apaiser la tension.
Lusenda : Le projet EDUFAM, éducation des filles pour un avenir meilleur vient de donner le go ce vendredi 21 juin 2024 à Lusenda à une campagne communautaire sur les mécanismes d’alerte et de fonctionnement de la plateforme numérique MSAADA et lancement officiel de la vulgarisation de la plateforme Assistance MSAADA, plateforme d’assistance aux survivantes de violences basées sur le genre. L’assistance MSAADA présente plusieurs avantages par rapport aux autres mécanismes de dénonciation notamment la rapidité du service et la confidentialité, les communautés de l’aire de santé de Lusenda et du Sud Kivu en général sont appelées à s’approprier l’assistance MSAADA.
Uvira : Lancement officiel ce vendredi 21 juin 2024 dans la ville d’Uvira, du projet PAMOJA mis en oeuvre par le consortium IRC, AVSI et COFAS avec la participation des autorités locales et des communautés hôtes ainsi que des réfugiés Burundais vivant hors camps des territoires d’Uvira et de Fizi. C’est un programme qui al’appui financier de l’Union Européenne. a hauteur de trois million cinq cent mille euros. D’apres Jessy Kapesa, Coordinateur de gouvernance et renforcement des systèmes au sein de l’organisation IRC, ce projet vise à renforcer l’intégration des réfugiés Burundais vivant hors camps au sein des communautés hôtes au Sud-Kivu, et compte atteindre 7000 personnes dont 3500 réfugiés burundais.
Uvira : La mesure prise par le service de migration de la RDC celle d’interdire, depuis mercredi 19 juin, aux véhicules pourtant l’immatriculation burundaise de traverser la frontière congolaise pour se ravitailler en carburant à la frontière de Kavimvira, à Uvira au Sud Kivu est une casse-tête aux petits commerçants transfrontaliers en particulier les vendeurs de carburant communément appelés les KADAFI. L’interdiction de ces véhicules est consécutive l’incendie d’un véhicule survenue à cette frontière dans la zone neutre entre le Burundi et la RDC où, des échauffourées avaient été éclatés, il y a à peu près deux semaines. Ces petits commerçants transfrontaliers appellent le gouvernement congolais à revenir sur cette décision pour l’intérêt supérieur de ces citoyens.
Mulongwe : Sous les thématiques : Pour un monde qui accueille les réfugiés et les réfugiés sont des personnes comme vous et moi qui ont été forcées de fuir leurs foyers, les réfugiés burundais du site de Mulongwe et du camp de Lusenda ont célébré ce mercredi 20 juin 2024, le 23ième anniversaire de la journée internationale du réfugié. Le 20 juin 2024 est célébré à Mulongwe au moment où la cohabitation entre les réfugiés burundais et les congolais de la communauté d’accueil de Mulongwe n’est pas bonne. Ntakirutima à Déo, président du comité des réfugiés burundais de ce site appelle à l’action des autorités congolaises et des organisations humanitaires pour apaiser la tension.
MULONGWE : Journée mondiale des réfugiés 2024 est célébrée au niveau du territoire de Fizi, au site des réfugiés burundais de Mulongwe. Les réfugiés burundais, la CNR, le HCR et leurs organisations partenaires, ainsi que les leaders de la communauté d’accueil des réfugiés, participent à cette célébration.
LUSENDA: Dans le camp des réfugiés burundais de Lusenda, au moment où le monde entier célèbre la Journée internationale pour les réfugiés le 20 juin de chaque année, ces réfugiés burundais font part de leurs difficultés. Ils expliquent que la majorité d’entre eux n’ont pas vu leurs abris réhabilités depuis 2015 jusqu’à nos jours. Les pluies torrentielles qui se sont succédées dans ce camp ont causé de nombreux dégâts, notamment l’effondrement de certains abris et la destruction totale d’autres, les privant d’un endroit pour cacher leurs vivres pendant la distribution alimentaire. Face à cette situation, ces réfugiés burundais demandent au HCR (Haut Commissariat des Nations unies pour les réfugiés) de mettre en place une réhabilitation générale des ménages dans tout le camp, afin qu’ils puissent se sentir en sécurité chez eux12. Le retour des réfugiés burundais doit être durable et librement consenti, et la crise des réfugiés burundais est l’une des situations les moins financées au monde.
BARAKA: Un conseil local de sécurité élargi a eu lieu ce mercredi 19 juin 2024 dans la ville de Baraka, au Sud-Kivu. Cela fait suite aux multiples cas de tracasseries et à plus de 24 cas de meurtres enregistrés depuis le début de cette année. Deux stratégies ont été adoptées, dont celle de la mise en place d’un cahier de ménage et la renaissance du système Balala Ronde. Le patient Rafiki, président des Jeunes dans la ville, a expliqué la manière dont ils atteindront leur objectif de garantir la sécurité et la paix durable dans tous les coins stratégiques de la ville de Baraka.
UVIRA : Des leaders communautaires et religieux, des acteurs de la société civile, des jeunes et des femmes s’engagent à contribuer à l’amélioration d’un environnement propice à la participation et à la promotion du leadership des femmes pour le développement communautaire à Uvira. Il s’agit d’un atelier de transfert des compétences sur les mécanismes d’alerte et de surveillance des violations des droits des défenseurs des droits humains, organisé du 18 au 20 juin 2024 par la Fondation Panzi dans le cadre de son projet Badilika. Ces participants affirment prendre cet engagement afin que les femmes puissent participer activement à la paix et occuper des postes de prise de décision.
MULONGWE : Journée mondiale des réfugiés 2024 est célébrée au niveau du territoire de Fizi, au site des réfugiés burundais de Mulongwe. Les réfugiés burundais, la CNR, le HCR et leurs organisations partenaires, ainsi que les leaders de la communauté d’accueil des réfugiés, participent à cette célébration.
LUSENDA: Dans le camp des réfugiés burundais de Lusenda, au moment où le monde entier célèbre la Journée internationale pour les réfugiés le 20 juin de chaque année, ces réfugiés burundais font part de leurs difficultés. Ils expliquent que la majorité d’entre eux n’ont pas vu leurs abris réhabilités depuis 2015 jusqu’à nos jours. Les pluies torrentielles qui se sont succédées dans ce camp ont causé de nombreux dégâts, notamment l’effondrement de certains abris et la destruction totale d’autres, les privant d’un endroit pour cacher leurs vivres pendant la distribution alimentaire. Face à cette situation, ces réfugiés burundais demandent au HCR (Haut Commissariat des Nations unies pour les réfugiés) de mettre en place une réhabilitation générale des ménages dans tout le camp, afin qu’ils puissent se sentir en sécurité chez eux12. Le retour des réfugiés burundais doit être durable et librement consenti, et la crise des réfugiés burundais est l’une des situations les moins financées au monde.
BARAKA: Un conseil local de sécurité élargi a eu lieu ce mercredi 19 juin 2024 dans la ville de Baraka, au Sud-Kivu. Cela fait suite aux multiples cas de tracasseries et à plus de 24 cas de meurtres enregistrés depuis le début de cette année. Deux stratégies ont été adoptées, dont celle de la mise en place d’un cahier de ménage et la renaissance du système Balala Ronde. Le patient Rafiki, président des Jeunes dans la ville, a expliqué la manière dont ils atteindront leur objectif de garantir la sécurité et la paix durable dans tous les coins stratégiques de la ville de Baraka.
UVIRA : Des leaders communautaires et religieux, des acteurs de la société civile, des jeunes et des femmes s’engagent à contribuer à l’amélioration d’un environnement propice à la participation et à la promotion du leadership des femmes pour le développement communautaire à Uvira. Il s’agit d’un atelier de transfert des compétences sur les mécanismes d’alerte et de surveillance des violations des droits des défenseurs des droits humains, organisé du 18 au 20 juin 2024 par la Fondation Panzi dans le cadre de son projet Badilika. Ces participants affirment prendre cet engagement afin que les femmes puissent participer activement à la paix et occuper des postes de prise de décision.
Les vallées, montagnes et collines du territoire de Fizi et partout à l’Est de la RDC sont rendues désertes suite à la déforestation quasiment totale. Des personnes autorisées dévastent les arbres fruitiers et non fruitiers à l’aide de tronçonneuses pour divers usages : certaines pour des planches et d’autres pour des braises, plus rares pour les bûches. Les bûcherons, cultivateurs et constructeurs de maisonnettes sur pilotis abattent à leur tour les repousses. La déforestation totale et les feux de brousse ont de nombreuses conséquences : on peut citer le changement climatique, la mort massive des animaux sauvages et la fuite des survivants loin de la zone, la disparition de la fertilité des sols, la disette, la pauvreté, les maladies et les inondations graves qui touchent la région.
Aujourd’hui, les citoyens sont profondément choqués par les autorités provinciales et territoriales qui autorisent la déforestation à l’aide de tronçonneuses pour leurs intérêts personnels ! L’abattage d’arbres par tronçonneuse entraîne automatiquement leur assèchement, les empêchant de repousser. Cependant, monsieur NDALE EKYAMBA, shérif et chef de l’environnement dans la commune de Katanga, nous informe que la déforestation et les feux de brousse sont strictement interdits par la loi. Le gouvernement de la RDC impose des frais de 150 dollars américains pour l’abattage de tout arbre fruitier et de 130 dollars américains pour tout arbre non fruitier, dans le but de protéger l’environnement
L’eau, c’est la vie”, dit-on. Après avoir entendu plusieurs cas de choléra confirmés par le médecin chef de zone, tant dans le territoire de Fizi que dans la ville de Baraka, l’organisation non gouvernementale Oxfam a mené une étude en collaboration avec d’autres experts sanitaires. Ils ont conclu que l’eau non potable est la seule cause de ces maladies, notamment dans le village de SEBELE, au centre de Fizi, et dans toute l’étendue de la commune de Katanga à Baraka.
En 2019, Oxfam a installé des bornes-fontaines dans cette région afin de lutter contre l’épidémie de choléra. Le point de captage se trouve sur la chaîne de Mitumba, à la rivière Mukera, à plus de 60 kilomètres du point de captage à Katanga. La présence d’eau potable dans ces zones semble être une solution palliative contre l’épidémie de choléra qui a causé la mort de centaines de personnes entre 2001 et 2003, selon les bénéficiaires de ces bornes-fontaines.
Cependant, les eaux ne sont pas disponibles chaque jour, car le réseau d’eau connaît régulièrement des pannes. Wilondja Chendje Zebuloni, président du conseil d’administration de l’Association du Réseau d’Eau Potable de Fizi (ASUREP Fizi), précise que des inconnus coupent intentionnellement les tuyaux, tandis que d’autres les endommagent. De plus, de nombreuses vannes, robinets et raccords sont déjà usés et devraient être remplacés, mais faute de moyens et de partenaires, cela reste difficile. Chaque ménage épuise tout un bidon d’eau à 50 FC, contribuant ainsi à la gestion de l’eau
