MAGAZINE NUMERO 16

Nous commençons ce magazine avec le camp de Nakivale où une farine distribuée aux réfugiés par le Programme Alimentaire Mondiale pour la bouillie leur fait peur. En effet, après 4 jours de distribution, des agents de PAM ont retiré la farine distribuée et ont demandé aux réfugiés de se rendre dans les structures de santé pour des soins sans dire plus. Notre correspondants Yves Irakoze nous en dit plus depuis le camp des réfugiés de Nakivale en Ouganda.
Le camp des réfugiés burundais de Lusenda, en République Démocratique du Congo, enregistre un taux élevé de natalité. Selon ADES, chaque semaine, ce camp reçoit en moyenne 30 nouvelles naissances et enregistre de nouvelles grossesses. En mars 2019, ADES a consacré beaucoup de temps à la sensibilisation des réfugiés burundais sur la sexualité responsable dans le but d’appeler des couples à adhérer au planning familial. Notre correspondant Marie Charles Nininahazwe nous donne plus de détails depuis le camp des réfugiés burundais de Lusenda.
Le nouveau Makazi, comprenez par-là, l’administrateur du camp qui y représente le gouvernement tanzanien a stoppé les activités de deux associations fournisseuses de la viande de chèvre et de la vache au camp des réfugiés burundais de Nduta. Elle leur exige de construire des boucheries modernes et qui tiennent compte des exigences du gouvernement de ce pays. Cette décision affecte la survie de ces deux associations et a des effets néfastes sur la vie des réfugiés burundais nous dit Bebline Kwizera depuis le camp des réfugiés burundais de Nduta en Tanzanie.
Rendons-nous enfin au camp des réfugiés burundais de Mahama au Rwanda où il s’observe une bonne cohabitation entre réfugiés burundais et membres de la communauté d’accueil de Mahama. Plusieurs activités sont menées pour rapprocher les deux communautés. Des organisations d’aide humanitaires pour leur part, appui ces efforts pour consolider ce climat de collaboration. C’est ce qu’indique notre correspondante Aline Nirere dans ce magazine réalisé à Mahama au Rwanda.
C’est la fin de ce magazine « Tuyage » présenté par Internews avec l’appui financier de l’Union Européenne. Merci à vous tous de l’avoir suivi. Ophélie Karanshamaje vous dit au revoir et à la fois prochaine.

MAGAZINE REGIONAL NUMERO 15

Nous commençons ce magazine par le camp des réfugiés de Lusenda, en République Démocratique du Congo où des jeunes réfugiés burundais réalisent à moindre cout, leurs propres films. Il s’agit des films fictions sur la protection de l’enfance. Une deuxième réalisation de ce genre est en cours dont l’initiative est un réfugié burundais qui se fait assister par des acteurs congolais et réfugiés burundais. Pour ce deuxième numéro, cette équipe est à l’œuvre depuis le début du mois de mars 2019 dans le camp. Des films réalisés constituent des outils importants pour la sensibilisation des réfugiés et membres de la communauté d’accueil sur la protection des enfants. C’est ce qu’indique notre correspondant Thomson UNDJI depuis le camp des réfugiés burundais de Lusenda. Son magazine est rendu ici par son confrère Alexandre Bizimana.
Rendons-nous au camp des réfugiés de Nakivale en Ouganda où enfants, jeunes et vieux, tous se hâtent à apprendre la langue anglaise dans ce pays. Sans distinction d’âge et de sexe, un engouement de ces assoiffés de cette langue de Shakespeare s’observe dans des salles de classe. Ils indiquent que la connaissance de cette langue dans un pays anglophone comme l’Ouganda, est très importante. Pour plus de détails, je vous invite à suivre notre correspondant Yves Irambona dans ce magazine qu’il a réalisé depuis le camp des refugiés de Nakivale.
Grogne des enseignants de Mahama qui donnent cours aux enfants réfugiés burundais et ceux de la communauté d’accueil au Rwanda suite à ce qu’ils qualifient « d’inégalités salariales ». L’agence d’aide humanitaire qui appuie le secteur de l’éducation indique que la diminution de l’enveloppe salariale des enseignants est dû à l’insuffisance des financements. Pour plus de détails, écoutez notre correspondante Aline Nirere depuis le camp des réfugiés burundais de Mahama au Rwanda.
Rendons-nous au camp des réfugiés burundais de Lusenda où un match de volleyball a opposé le contingent pakistanais de la MONUSCO à l’équipe des jeunes réfugiés burundais dans le cadre du projet Sport pour la protection de la jeunesse. Le match en soit, a duré près de deux heures et s’est soldé par une mise en échec de la sélection sportive burundaise avec un score de 3-7 à 1. Notre correspondante Sauda AKIMANA nous donne plus de détails depuis le camp des réfugiés burundais de Lusenda
C’est la fin de ce magazine « Tuyage » présenté par Internews avec l’appui financier de l’Union Européenne. Merci à vous tous de l’avoir suivi. Ophélie Karanshamaje vous dit au revoir et à la fois prochaine.

Magazine numero 13

Nous commençons ce magazine par la visite de M. Christoph Bonsmann, Directeur Général de l’Organisation hollandaise « Action Medeor » au camp de Lusenda à la fin du mois de février 2019. En effet, son organisation assiste les réfugiés burundais dans le paiement de leurs frais d’hospitalisation quand ils sont transférés à l’hôpital général de Nundu, l’approvisionnement des médicaments au poste de santé de Lusenda et la construction des latrines VIP dans le même camp. Toute intervention d’Action Medeor » s’effectue à travers son partenaire AFPDE. M. Christoph Bonsmann, a lors de son passage à Lusenda, a affirmé la poursuite de l’appui de son organisation aux réfugiés burundais à travers le HCR et son partenaire AFPDE. Cette nouvelle a réjoui les réfugiés burundais. C’est ce qu’indique notre correspondant Alexandre Bizimana, dans ce magazine réalisé depuis le camp de Lusenda en RDC.
Délocalisation du marché de Nduta, de l’extérieur à l’intérieur du camp des réfugiés burundais. C’est ce qu’ont décidé les autorités tanzaniennes. Des réfugiés burundais accueillent différemment cette décision. Certains indiquent que c’est une bonne chose dans la mesure où ce rapprochement du marché aux réfugiés, réduit la distance à parcourir pour effectuer des achats. D’autres par contre, notent que la localisation du marché au camp, limite les réfugiés burundais à accéder à certains articles. En effet, les autorités tanzaniennes ne facilitent pas l’entrée de quelques articles dans le camp.
Changement des stratégies d’ADRA dans l’assistance des enfants dans les écoles. Désormais, tous les enfants, réfugiés burundais et membres de la communauté d’accueil sont assistés par cette organisation. Pourtant, ce n’était pas le cas auparavant où seuls les enfants réfugiés burundais jouissaient de l’assistance humanitaire. Notre correspondante Aline Nirere nous donne ici des détails dans ce magazine qu’elle a réalisé depuis le camp des refugiés burundais de Mahama au Rwanda.

Magazine numero 12

Nous commençons ce magazine par le Rwanda, plus précisément au camp des réfugiés burundais de Mahama où le HCR et PAM ont ouvert des comptes à l’Equity Bank pour des réfugiés burundais. Désormais, les 5400 FRW que reçoivent les réfugiés burundais en supplément à la ration alimentaire seront payés par la banque. Selon Aline Nirere, notre correspondante au camp de Mahama, cette decision du HCR et de PAM a rejoui les réfugiés burundais. Je vous invite de l’écouter dans ce magazine qu’elle nous a préparé depuis Mahama
Des enfants réfugiés burundais qui rodaient autour de la MONUSCO Lusenda depuis 2015 pour mendier et fouiner les poubelles pour se nourrir, parlent déjà pakistanais et sont devenus des interprètes. Pour le moment, ce sont ces enfants qui facilitent la communication entre les réfugiés burundais et membres de la communauté d’accueil et le contingent pakistanais basé à Lusenda. Notre correspondante Odette Nibizi, nous fait découvrir ces enfants dans ce magazine qu’elle nous a préparé depuis le camp des refugiés burundais de Lusenda.
Le camp de réfugiés de Nakivale en Ouganda héberge une communauté d’albinos, plus précisément dans le village Kashonjwa B. Pourtant, Nakivale est une zone très chaude où le soleil est accablant toute l’année et met à mal la vie des albinos. Ces derniers développent de mécanismes qui leur permettent de s’adapter à ces contraintes climatiques. Notre correspondant Yves Irakoze, s’est penché sur cette question depuis le camp des refugiés de Nakivale.
Des réfugiés burundais du camp de Nduta en Tanzanie prennent, de 2018 à ces jours, la charge de la construction de leurs abris, sauf la charpente. En effet, en 2017, l’ ONG DRC s’occupait de toutes les charges liées à la construction de ces abris sauf la fabrication des briques qui est laissée à la responsabilité des réfugiés burundais. Mais depuis 2018, le système a changé avec l’avènement de l’ONG IRD. Cette dernière prend en charge la charpente seulement et le reste des charges reviennent aux réfugiés. Notre correspondante Bebline Kwizera, nous dit ici comment les réfugiés burundais vivent ces deux situations, depiuis le camp de Nduta.
C’est la fin de ce magazine « Tuyage » présenté par Internews avec l’appui financier de l’Union Européenne. Merci à vous tous de l’avoir suivi. Ophélie Karanshamaje vous dit au revoir et à la fois prochaine.

MAGAZINE REGIONAL NUM 11

Merci de suivre ce magazine régional que vous présente l’ONG Internews avec l’appui financier de l’Union Européenne. Pendant quinze minutes, nous allons vous présenter la situation sur la vie des réfugiés burundais et communautés d’accueil en Tanzanie, au Rwanda, en RDC et en Ouganda. Au micro, Ophélie Karanshamaje, Romain Semakuba à la technique et la supervision de Jacques Kahorha depuis Bukavu en République Démocratique du Congo. Bienvenue à toutes et à tous.
Nous commençons ce magazine par le camp des réfugiés burundais de Lusenda où la gratuité des soins de santé aux centres médicaux de Lusenda et Kaboke I se termine à la fin de ce mois de février 2019. C’est ce qu’a décidé le HCR à travers son partenaire ADES qui intervient dans le secteur de la santé. Le partenaire qui approvisionnait ces structures de santé en médicaments n’a plus de financements. Ainsi, les réfugiés burundais vont désormais se contenter des soins gratuits au poste de santé de Lusenda. Ce qui suscite quelques inquiétudes de leur part mais ADES les appelle à l’apaisement. Des explications avec Yvette Munezero, notre correspondante depuis le camp des réfugiés burundais de Lusenda.
Rendons-nous à présent au camp des réfugiés de Nakivale en Ouganda où des jeunes réfugiés burundais ont créé une association dénommée « CEBUNA » pour faire face aux problèmes de l’éducation et de l’emploi auxquels des jeunes sont confrontés en Ouganda, pays d’accueil. Cette association organise des formations sur la langue anglaise et assiste les jeunes dans la recherche des bourses d’études. Grace aux activités de cette association, 36 réfugiés burundais ont eu de l’emploi dans les casinos de Kampala tandis que 3 autres ont eu des bourses d’études dans les universités de l’Ouganda. Des détails avec Yves Irambona, notre correspondant sur place au camp de Nakivale, en Ouganda.
C’est seulement en février 2019 que les réfugiés burundais reçoivent du savon après trois mois de retard. Selon le calendrier du HCR à travers son partenaire Dannish Refugee Counsel « DRC », les réfugiés burundais devraient recevoir chacun un savon le mois, mais pour la distribution en cours, ils n’en reçoivent que deux au lieu de trois. Que représente le savon pour un refugié et comment gère-il la période de rupture de sa distribution ? Bebline Kwizera, donne plus d’explications depuis le camp des réfugiés de Nduta.
Rendons-nous au Rwanda, plus précisément au camp des réfugiés burundais de Mahama où le taux de natalité est très élevé. Qu’est ce qui serait à la base de cette situation ? Nous ne vous en disons pas plus. Ecoutez plutôt notre correspondante Aline Nirere qui nous partage son constat depuis le camp des réfugiés burundais de Mahama.
Terminons ce magazine avec cette nouvelle sportive en RDC où l’Organisation humanitaire War Child Hollande crée et équipe 8 équipes de sport constituées des réfugiés burundais et des membres de la communauté hôte pour 3 disciplines, dont le Football, le Volleyball, le Basketball ainsi que des danses traditionnelles congolaises et burundaises. War Child Child est fait l’ONG en charge du Sport dans le camp des réfugiés burundais de Lusenda et du site de Mulongwe et s’occupe en même temps de questions culturelles. Ecoutons les explications de notre correspondant Emmanuel NTIRAMPEBA depuis le camp des réfugiés burundais de Lusenda.

MAGAZINE REGIONAL NUMERO 10

Bonjour ou bonsoir chers réfugiés burundais et communautés qui les ont accueillis partout où vous vous trouvez. Merci de suivre ce magazine régional que vous présente l’ONG Internews avec l’appui financier de l’Union Européenne. Pendant quinze minutes, nous allons vous présenter la situation sur la vie des réfugiés burundais et communautés d’accueil en Tanzanie, au Rwanda, en RDC et en Ouganda. Au micro, Ophélie Karanshamaje, Romain Semakuba à la technique et la supervision de Jacques Kahorha depuis Bukavu en République Démocratique du Congo. Bienvenue à toutes et à tous.
Nous commençons cette situation qui touche tous les réfugiés burundais. En 2019, le HCR et ses partenaires auront besoin de 296 millions de dollars américains pour venir en aide aux réfugiés burundais de 2015 éparpillés dans la sous-région des grands-lacs. Faute de réunir cette somme, près de 30 000 âmes des réfugiés burundais hommes, femmes, et enfants du camp de Lusenda, à lui-seul, périront. Notre correspondante C’est un papier de Collette Salima, notre correspondante en RDC.
Restons dans ce chapitre humanitaire pour dire que le HCR et la CNR ont organisé jeudi 07 février la première réunion de coordination des affaires humanitaires dans le camp des réfugiés burundais de Lusenda. Au menu de cette réunion, était la projection des activités que les organisations humanitaires qui interviennent dans le camp de Lusenda et le site de Mulongwe comptent réaliser au cours de cette année 2019. Notre correspondante Odette NIBIZI donne plus de détails depuis le camp des réfugiés burundais de Lusenda.
Rendons-nous à présent au camp des réfugiés de Nakivale en Ouganda, où un nouveau marché a été ouvert pour desservir trois villages dont deux hébergent des réfugiés burundais. Ce marché va contribuer au développement économique des réfugiés. Yves Irambona, notre correspondant au camp de Nakivale s’est penché sur cette situation.
Au Rwanda, plus précisément au camp des réfugiés burundais de Mahama, le Centre Shalom vole au secours des jeunes de ce camp. En effet, depuis quelques mois, cette organisation s’occupe de leur encadrement avec de formations professionnelles variées. Depuis le camp de Mahama, notre correspondante Aline Nirere nous en dit plus.
Terminons ce magazine avec cette bonne nouvelle sportive. Un terrain de Basketball et un terrain de Volleyball sont opérationnels dans le camp des réfugiés burundais de Lusenda et dans la communauté hôte. Les poteaux, les anneaux et autres accessoires de ces aires de jeu ont finalement été fixés, et les équipes de joueurs de volleyball et de basketball se constituent progressivement. C’est ce que nous indique notre correspondant Alexandre BIZIMANA depuis le camp des réfugiés burundais de Lusenda.
C’est la fin de ce magazine « Tuyage » présenté par Internews avec l’appui financier de l’Union Européenne. Merci à vous tous de l’avoir suivi. Ophélie Karanshamaje vous dit au revoir et à la fois prochaine.

MAGAZINE NUMERO 9

Bonjour ou bonsoir chers réfugiés burundais et communautés qui les ont accueillis partout où vous vous trouvez. Merci de suivre ce magazine régional que vous présente l’ONG Internews avec l’appui financier de l’Union Européenne. Pendant quinze minutes, nous allons vous présenter la situation sur la vie des réfugiés burundais et communautés d’accueil en Tanzanie, au Rwanda, en RDC et en Ouganda. Au micro, Ophélie Karanshamaje, Romain Semakuba à la technique et la supervision de Jacques Kahorha depuis Bukavu en République Démocratique du Congo. Bienvenue à toutes et à tous.
Nous commençons ce magazine par la rentrée scolaire en Ouganda. Mais au camp des réfugiés de Nakivale, il se pose un problème d’infrastructures scolaire. Vaste de 186km avec des réfugiés issus de 7 nationalités différentes, ce camp ne compte que 6 écoles primaires construites par le HCR et une école secondaire. Ce nombre d’écoles disponibles ne répond pas à la taille du camp, moins encore à la demande des enfants en âge scolaire. Du coup, il s’observe l’initiative de la création des écoles privées au sein de ce camp. Pour plus de détails, écoutons notre correspondant Yves Irakoze depuis le camp des réfugiés de Nakivale.
Rendons-nous au camp des réfugiés burundais de Nduta en Tanzanie où les bois de chauffe deviennent de plus en plus rares. Arrivés en Tanzanie 2015, les réfugiés burundais ont été installés dans la réserve naturelle de Muyobozi, district de Kibondo, province de Kigoma et ont reçu des autorités locales, l’autorisation de coupe du bois sec pour s’en servir pour la cuisson de la nourriture. Malheureusement, trois ans après, tous les bois sont terminés et ces réfugiés ne savent plus à quel saint se vouer. Pour plus d’explications, écoutons Bebline Kwizera, notre correspondante basée à Nduta en Tanzanie.
Terminons ce magazine par le camp des réfugiés burundais de Mahama au Rwanda. Ici, des réfugiés ont accès gratuitement aux soins de santé primaire. Cependant, pour des soins qui nécessitent une spécialité, les réfugiés recourent aux structures appropriées. Dans ce cas, des malades recourent à l’assistance des membres de leurs familles pour le paiement de ces soins médicaux. Pour plus de détails, écoutons ce magazine réalisé par notre correspondante Aline Nirere depuis le camp de réfugiés burundais de Mahama.
C’est la fin de ce magazine « Tuyage » présenté par Internews avec l’appui financier de l’Union Européenne. Merci à vous tous de l’avoir suivi. Ophélie Karanshamaje vous dit au revoir et à la fois prochaine.

MAGAZINE REGIONAL NUM 7

Bonjour ou bonsoir chers réfugiés burundais et communautés qui les ont accueillis partout où vous vous trouvez. Merci de suivre ce magazine régional que vous présente l’ONG Internews avec l’appui financier de l’Union Européenne. Pendant quinze minutes, nous allons vous présenter la situation sur la vie des réfugiés burundais et communautés d’accueil en Tanzanie, au Rwanda, en RDC et en Ouganda. Au micro, Ophélie Karanshamaje, Romain Semakuba à la technique et la supervision de Jacques Kahorha depuis Bukavu en République Démocratique du Congo. Bienvenue à toutes et à tous.
Nous commençons ce magazine par le camp des réfugiés burundais de Nduta en Tanzanie où l’organisation humanitaire « Good Neighbors » ou bons voisins, partenaire du HCR, accompagne les réfugiés burundais dans un processus de leur autonomisation. Des réfugiés de Nduta ont bénéficié de formations dans plusieurs filières avant d’être regroupés pour mener des activités génératrices des revenus. A ces jours, fort malheureusement, certains groupes sont tombés en faillite tandis que d’autres tiennent encore débout. Sur place, découvrons avec notre correspondante Bebline Kwizera sur place, les raisons qui font que certains groupes tombent en faillites pendant que d’autres prospèrent.
Magazine Bebline Kwizera, depuis le camp de Nduta en Tanzanie
La rentrée scolaire pour l’année 2019 a été effective la semaine dernière au Rwanda. Des enfants réfugiés burundais du camp de Mahama n’ont pas raté ce rendez-vous. Aline Nirere, notre correspondante sur place, nous parle ici de cette rentrée scolaire ainsi que de la prise en charge des enfants.
Magazine de : Aline Nirere depuis le camp des réfugiés burundais de Mahama au Rwanda
Restons sur ce chapitre de l’éducation pour parler des enfants réfugiés burundais du camp de Lusenda en République Démocratique du Congo qui commencent à s’adapter au système éducatif de ce pays. Contesté au départ par des parents et même par des enfants burundais, le gouvernement congolais et le HCR avaient estimé que tous les enfants, refugiés et autochtones, doivent étudier dans un même système pour consolider la cohabitation entre refugiés et communauté d’accueil. Une bonne surprise, certains enfants burundais se sont vite adapté et de fois, prendre la tête du classement aux examens nationaux. Marie Charles Ninihazwe est notre correspondant dans le camp des réfugiés de Lusenda. Il nous en dit plus.
Magazine de Marie Charles Ninihazwe depuis Lusenda en République Démocratique du Congo
: Pour clôturer ce chapitre sur l’éducation, rendons-nous au camp des réfugiés de Nakivale en Ouganda où 8 étudiants de moins de 25 ans viennent de décrocher des bourses d’études pour le Canada. Le test de recrutement a été organisé par Windle Trust, une ONG qui s’occupe du secteur de l’éducation primaire, secondaire et universitaire dans le camp de Nakivale. Sur les 8 boursiers retenus, deux sont des burundais. Pour plus de détails, écoutons notre correspondant Yves Irakoze depuis le camp de Nakivale.
C’est la fin de ce magazine « Tuyage » présenté par Internews avec l’appui financier de l’Union Européenne. Merci à vous tous de l’avoir suivi. Ophélie Karanshamaje vous dit au revoir et à la fois prochaine.

MAGAZINE REGIONAL NUM 6

Bonjour ou bonsoir chers réfugiés burundais et communautés qui les ont accueillis partout où vous vous trouvez. Merci de suivre ce magazine régional que vous présente l’ONG Internews avec l’appui financier de l’Union Européenne. Pendant quinze minutes, nous allons vous présenter la situation sur la vie des réfugiés burundais et communautés d’accueil en Ouganda et en RDC. Au micro, Ophélie Karanshamaje, Romain Semakuba à la technique et la supervision de Jacques Kahorha depuis Bukavu en République Démocratique du Congo. Bienvenue à toutes et à tous.
Nous commençons ce magazine par le camp des réfugiés burundais de Nakivale en Ouganda où le tambour burundais joué par des réfugiés burundais excite d’autres réfugiés de 6 nations et membres des communautés d’accueil du district d’Isindiro. Ce n’est pas tout. A toutes les grandes cérémonies et évènements organisés dans ce district comme l’accueil des officiels ougandais dans la zone, le tambour du refugié burundais ne manque pas au rendez- vous. Le tambour est l’un des éléments qui incarnent la culture Burundaise. Je ne vous dis pas plus. Ecoutons plutôt Yves Irakoze, notre correspondant basé au camp de Nakivale en Ouganda.
Rendons-nous en République Démocratique du Congo, particulièrement au camp des réfugiés burundais de Lusenda où la structure de santé de la place connait souvent une carence des médicaments. Pour pallier à cette situation, des jeunes réfugiés lauréats en sciences infirmières ont ouvert des pharmacies dans ce camp à la satisfaction des réfugiés qui n’avaient aucune autre option d’accéder aux soins médicaux dans cette zone. Pour plus de détails, écoutez Yvette Munezero, notre correspondante basée au camp de Lusenda
Retournons en République Démocratique du Congo où la présence des réfugiés burundais à Lusenda contribue au désenclavement de cette zone et à l’amélioration des conditions de vie de ses habitants. Notre correspondant Marie Charles Ninihazwe, s’est penché sur le plus-value de la cohabitation entre réfugiés burundais et membres de la communauté d’accueil depuis 4 ans maintenant.
: C’est la fin de ce magazine « Tuyage » présenté par Internews avec l’appui financier de l’Union Européenne. Merci à vous tous de l’avoir suivi. Ophélie Karanshamaje vous dit au revoir et à la fois prochaine.

MAGAZINE NUMERO 5

Nous commençons ce magazine par le camp des réfugiés burundais de Lusenda, en République Démocratique du Congo.
Ici, 2000 réfugiés burundais bénéficient gratuitement des lopins de terre pour pratiquer l’agriculture pour leur survie. Ce geste des membres de la communauté d’accueil est beaucoup salué par les réfugiés burundais nous dit Yvette Munezero dans ce magazine qu’elle nous a préparé
Rendons-nous en Ouganda, particulièrement au camp des réfugiés de Nakivale où des réfugiés burundais s’organisent en associations d’épargne et de crédit pour leur permettre de tenir face à la vie difficile qu’ils mènent dans ce pays d’exil. Ce regroupement des réfugiés en association, permet à certains d’entre eux de se trouver un capital pouvant leur permettre de tourner et subvenir aux besoins de leurs familles. Pour plus de détails, écoutons notre correspondant Yves Irakoze, depuis le camp des réfugiés de Nakivale en Ouganda.
Rendons-nous en Ouganda, particulièrement au camp des réfugiés de Nakivale où des réfugiés burundais s’organisent en associations d’épargne et de crédit pour leur permettre de tenir face à la vie difficile qu’ils mènent dans ce pays d’exil. Ce regroupement des réfugiés en association, permet à certains d’entre eux de se trouver un capital pouvant leur permettre de tourner et subvenir aux besoins de leurs familles.
: Elles ont gardé leur talent en dépit de leur vie de vulnérabilité dans le camp des réfugiés burundais de Mahama au Rwanda. Des jeunes mannequins de l’agence Top Fashion Models vivant dans ce camp, impressionnent par leurs spectacles, tous les visiteurs dans ce site. Ils sont même invités dans de grandes villes comme Kigali pour offrir des spectacles. Par cette approche purement culturelle, les membres de ce groupe ont une bonne entrée dans la communauté rwandaise et s’y font accepter. Comme tous les autres visiteurs et assistants à leurs shows culturels, Madame Helena Christensen, une partisane du HCR a été très impressionnée par ce groupe lors de sa visite au site de Mahama
Des réfugiés burundais amateurs du ballon rond du camp de Nduta sont inquiets. Ça fait près d’une année qu’ils n’assistent plus aux tournois de football. Pourtant, ce sport constitue selon eux, un moyen important de divertissement pour les réfugiés burundais. Qu’est ce qui s’est passé pour que des tournois ne soient plus organisés et, comment cette situation affecte-t-elle la vie des réfugiés burundais ?
C’est la fin de ce magazine « Tuyage » présenté par Internews avec l’appui financier de l’Union Européenne. Merci à vous tous de l’avoir suivi. Ophélie Karanshamaje vous dit aurevoir et à la fois prochaine.